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Question N° 1 :
Anthoine et Estienne Hébert sont dit originaires de la paroisse de Balesmes, près La Haie Descartes en Indre et Loire. Les parents donnés seraient Jacques Hébert et Marie Juneau. Anhoine serait né vers 1621. l'acte de baptême a t'il été retrouvé ?
Jacques Nerrou - Saint-Agnant –
Réponse  

          Antoine Hébert (d’Acadie) serait le frère de Jacques Habert (de Québec). Jean-Marie Germe (descendant de Michel Boudrot et Michelle Aucoin), auteur de la reconstitution de lignées descendantes des Acadiens d’Archigny, La Puye et Saint Pierre de maillé a étudié la liste des émigrants d’Indre et Loire. A cette occasion, il a consulté les BMS de Descartes (comprenant les paroisses de Balesmes, St Georges de la Haye et Notre Dame) et a vérifié entre autres, si la famille du pionnier Jacques Habert était bien originaire de cette ville, ainsi, divers actes de baptême de cette famille sont bien remarqués dans les archives municipales pour la période 1600/1650.

          Le Centre Généalogique de Touraine note l’acte de baptême du pionnier Jacques Habert, fils de Jacques et Marie Justeau (et non Juneau comme l’a imaginé Bona Arsenault), mais aucune trace de
famille Hébert, des frères de Jacques Habert. Jean-Marie Germe a retrouvé le baptême de Marie Justeau (1608), mais il faudra chercher ailleurs l’origine de ces deux pionniers Acadiens.
     Sources : Collection BMS Descartes (La Haye et Balesmes) – Bulletin périodique AGCF – 2ème semestre 1996 – Bulletin origine des émigrants d’Indre et loire (Jean-Marie Germe, AGCF 1999/2000).           Amitiés généalogiques Canadiennes-Françaises

          Dans les Mémoires de la Société généalogique Canadiennes-Françaises, vol VII – année 1956 – pages 122 et 123 – le père Archange Gogdout signalait les travaux du père Georges O.M. Cap, remarquant que, compte tenu de dispenses de consanguinité accordées à leurs petits-enfants Antoine et Etienne Hébert, étaient frères, mais qu’il avait été rapide de dire que Jacques Habert, et les frères Hébert précités étaient issus de Jacques Habert et Marie Juneau de la paroisse de Balesmes.
Paul Delaney – Université de Moncton.
Question N° 2 :
Louis Lamoureux, sieur du Couëdo, 1710-1782 – descendant d’Acadiens établis près de Guérande. Comme eux, je n’entends pas le Breton. Qui peut me donner la signification de la racine ‘’Couë’’ très fréquente dans cette région ‘’Cuëdo, Couëssin, Couëré, etc’’ ?.
 Jean-Jacques Le Blanc – Oullins –
Réponse

Couë
          La presqu’Île de Guérande est située sur la frontière linguistique du breton et du français.
De nombreux toponymes en témoignent encore aujourd’hui, il suffit de consulter une carte pour s’en convaincre. Couëdo vient du breton coet/coat. Au fil des siècles, beaucoup de vocables ont subi une certaine francisation de leur écriture, ainsi dans notre exemple, le C initial qui en breton s’écrit et se prononce K, C’H ou G selon un système de mutations consonantiques, qu’il serait trop long d’exposer ici, mais que l’on retrouve aussi dans des langues anciennes autres que les langues celtiques. Un exemple semblable nous est fourni par le nom d’une autre famille acadienne, tantôt Quimine, tantôt Kimine ou Quémine, et qui vient vraisemblablement vient du breton C’himiner, c’est-à-dire le tailleur.

           La forme Couëdo est un pluriel en O typique du Vannetais au lieu du OU en usage ailleurs en Bretagne où l’on dirait plutôt Coadou. Le vocable évoque un lieu-dit couvert de bois et partant de là, une personne originaire de cet endroit. Nombreux sont les patronymes constitués à partir de cette racine.
Gérard Scavennec – Lanester. 
Question N° 3 :
Quel est le lien de parenté entre Lièvin Lefranc, né à la Bouteille en Thiérache, demeurant rue Saint Antoine à l’enseigne de la Croix à Paris, où il a été recruté en 1608 comme charpentier pour servir Du Gua de Monts et Champlain, et Geneviève Lefranc, née ca 1613, l’épouse d’Antoine Hébert ?
Jacques Nerrou - Saint-Agnant –
Réponse  

?
Question N° 4 :
Le patronyme Saint-Martin apparaît au 18ème siècle en plusieurs lieux et à des époques différentes. En 1709, lors du baptême d’Elisabeth Roger à La Rochelle, la marraine est Marie-Thérèse Jaulin, femme de Nicolas Saint-Martin, marchand du Canada. Le père de l’enfant, Gabriel Roger, originaire de Sainte-Famille, Île d’Orléans, devenu marchand à La Rochelle, est absent. On sait qu’il commerçait avec les gens de Plaisance. Vers 1726, un capitaine Saint-Martin fait l’objet de plaintes de la part de son équipage auprès des autorités de Louisbourg. Est-ce le même ? Enfin entre 1776 et 1778, une petite-fille d’Elsabeth Roger,Marie Douville veuve Marchet, épouse à Saint Pierre et Miquelon, Pierre Saint-Martin. Ce dernier ne figure pas au recensement de 1776 et j’ignore sa filiation. Quelqu’un aurait-il des renseignements sur ces divers Saint-Martin ? Marie-Thérèse Jaulin est-elle native de La Rochelle comme l’épouse de Gabriel Roger ? Le nom de Saint-Martin est-il simplement un surnom comme pour Françoise Baucher (Boscher) dit Saint-Martin, armateur et marchand de Plaisance ?
Gérard Scavennec – Lanester –
Réponse  

          Les recherches entreprises ont permis de clarifier certains points, mais pas de résoudre entièrement le problème pour le moment. Il apparaît certain que le capitaine Saint-Martin condamné pour brutalité envers son équipage était en réalité François Baucher (Boscher) dit Saint-Martin, habitant pêcheur, armateur de Plaisance, puis de Petit Degrat. Michel Daccarette et lui luttèrent contre le monopole de la pêche à la morue accordé à la Compagnie de l’Île Saint-Jean.

          Quant à Pierre Saint-Martin, beau-fils de Jacques Douville, la piste basque semble être bonne mais n’a pas donné de résultat concluant. Nous savons que les Douville, comme d’autres Saint-Pierrais, engageaient des saisonniers basques. Malheureusement le registre des mariages a disparu. Quelques années plus tard le 9 juin 1785 lors du baptême d’une fille de Pierre, le parrain est un certain Michel Saint-Martin, capitaine de navire, représenté par Jean Mainville, aide-chirurgien. Il s’agit vraisemblablement d’un parent proche et ce dernier détail permettra peut-être d’identifier cette famille. Ce même Michel Saint-Martin sera le parrain d’une fille de Jean Mainville et de Marie Bertaud Montaury en mai 1787.

          Nicolas Saint-Martin, marchand au Canada, mentionné au baptême d’Elisabeth Roger à La Rochelle en 1709 demeure inconnu. Grâce à son épouse, Marie-Thérèse Jaulin, il devrait être possible d’en apprendre davantage sur lui.
Gérard Scavennec – Lanester – Jean-Claude Paronnaud – Aytré –
Question N° 5 :
Acadiens de Rochefort : qui sont les Acadiens qui reviennent le 1er décembre 1710 à Rochefort avec le Gouverneur de Port-Royal Subercase ? Parmi les 258 personnes à bord des 3 bâtiments anglais, il y avait 67 Acadiens ?
Yann Scavennec – Paris –
Réponse  

          Pour Jean-Marie Fonteneau, auteur de l’ouvrage ‘’Les Acadiens, Citoyens de l’Atlantique’’ page 74, après la capitulation signée le 13 octobre 1710, ‘’ les officiers et militaires pourront rejoindre La Rochelle et les civils demeurer sur leurs terres à condition de prêter le serment d’allégéance’’.

          D’après le dictionnaire biographique du Canada, Subercase serait arrivé à Nantes.

          Au service historique de la Marine à Rochefort, il n’y a pas de trace de bateaux anglais débarquant Subercase et des passagers en provenance de l’Île Royale en décembre 1710 au port de Rochefort. Les seuls documents trouvés concernent le conseil de guerre, à l’encontre de Subercase accusé par ses officiers de la perte de l’Acadie, qui s’est déroulé dans ce port entre janvier et mars 1711. Ce conseil de guerre a reconnu que Subercase ne pouvait rien faire, faute de soutien militaire, et l’a reconnu non coupable.

          En fait les Acadiens ont été débarqués à Nantes et Subercase fut conduit en résidence à Rochefort en l’attente de son procès.
Jacques Nerrou – Saint-Agnant –
Question N° 6 :
Liste de paye du St François – Je recherche la liste de paye du ‘’Saint-François’’ parti de La Rochelle en 1641, document dans lequel figure Jacques Bourgeois, chirurgien, qui a reçu une avance pour aller en Acadie.
Jacques Nerrou – Saint-Agnant –
Réponse  

?
Question N° 7 :
Quels étaient les nom et prénom de l’épouse de Jean Terriot ° ca 1601. S’appelait-elle Perrine Breau, Perrine Réau ou Perrine Bourg ?
Jacques Nerrou – Saint-Agnant –
Réponse  

           Terriot ou Terriau tel était le nom, aujourd’hui plus souvent Thériault en Acadie – Plusieurs auteurs ont cité ‘’Bréau’’ voir ‘’ Bourg’’. En fait, l’épouse de Jehan Terriau portait le patronyme de : Perrine Ruau.

          Ce nom se retrouve avec Alexandre Ruau ‘’Procureur au Siège Présidial de Tours’’ pour le mariage de Jacques Le Gendre avec Catherine Tirneuilleau le 14 octobre 1645 à Tours avec pour témoins deux frères Denys, Chevreau, de la Baune, etc.. Alexandre Ruau était l’époux d’une Turquant, patronyme figurant parmi les témoins. Toutes ces familles se retrouvent à Tours : Ruau avec les Gaultier (donc de Razilly), Cothereau (Cottereau avec les Doucet), Taschereau du Québec, avec un Terriau maître-boulanger qui se relie bien aux Terriau du recensement de 1671.
Réponses conjointes de Mmes Aidat, Champagne et Mr René-Fernand Perron
Question N° 8 :
Recherche à remplacer les ??? par les éléments… Voici mes De Malvillain pour St Pierre
arbre
Michel Sauvée
Réponse  

Malvilain : Quelques compléments d’information). Remarques liminaires : L’origine du patronyme est de Mauvillain, famille originaire du Coglais (pays autour de Saint Brice en Cogles, entre Fougères et Antrain). Aux 16ème et 17ème siècles, on y trouve des de Mauvillain de la Bruslays, de la Morinais, de la Hamonais, etc… Lors du séjour de cette famille au Cap Breton et à St Pierre et Miquelon, au 18ème, la particule généralement ne figure pas devant le patronyme. Ce n’était guère l’ usage chez les pêcheurs en ces lieux. Nous la mentionnons toutefois entre parenthèses. Elle réapparaît au 19ème siècle dans les actes d’état civil, suite au jugement du tribunal de 1ère Instance de Saint Pierre et Miquelon du 14 novembre 1836, à la demande de Charles Joseph Adrien. La branche partie à la colonie épousera les idées de la République alors que les branches restées au pays chouanneront. Entre autres, un François de Mauvillain deviendra chef de division de l’Armée Royale de Bretagne près de Nantes.
Question N° 9 :  Le Blanc
Recherche tous renseignements sur Barthélémy Le Blanc ° vers 1630 + après 1708 m sep 1655 Jeanne Violleau, entrepreneur et architecte à Clamecy, qui construisit le château de Menou (Nièvre)
Réponse  

?
Question N° 10 :  Trahan
Recherche informations sur Frédéric Trahan originaire de Nantes, 2e maître d’équipage sur l’Argonaute, ayant participé à la bataille de Trafalgar le 29 Vendémiaire an 14, (21 octobre 1805) et ramené sur l’Achille par les parlementaires français à Rochefort.
Réponse  

?
Question N° 11 :  Hébert
Recherche ascendance d’Hébert Joseph X Marie De Latour dont le fils Joseph ° ca 1734 Louisbourg d 25 janvier 1813 Fouras (17).
Réponse  

?
Question N° 12 :  Le Blanc
Recherche confirmation ascendance Jean Le Blanc et Marguerite Comeau parents de Jacques Le Blanc ° ca 1687 se mariant 2 juillet 1716 La Flotte en Ré à Marguerite Thibaut (Pierre & Marie Moynet). D’après l’acte Etienne & Pierre Le Blanc Frères, Vincent Comeau, Nicolas Comeau, François Comeau, Jacques Comeau, Cousins & oncle.
Réponse  

?
Question N° 13 :  Boudreau
Recherche informations sur BOUDREAU Dorothée fille de Jean et Catherine Brasseau, épouse le 15 juillet 1754 à Port Lajoie, Davis Denis, né vers 1730 à Cork Irlande, de John et Dorothy O'Donnell
Réponse  

?
Question N° 14 :  Boudreau
Recherche informations sur BOUDREAU Marie Louise, de Jacques et Madeleine Maranda, épouse le 22 juillet 1754 à Québec, Guillaume Soderland, né en 1726 à Torson (Ecosse) de Jean et Elisabeth Melson. Se remarie le 11 janvier 1762 à Québec à Pierre Aucheu.
Réponse  

?
Question N° 15 :  Boudreau
Recherche informations sur BOUDREAU Sophie, de Jean et Victoire Thériot, épouse le 25 octobre 1813 aux Iles de la Madeleine, Pierre Marie Loiseau, né à Lorient de Paré Loiseau et Marie Vincent.
Réponse  

?
Question N° 16 :  Bourgeois
Recherche informations sur BOURGEOIS Françoise, née de Joseph et Marguerite Hébert, épouse le 30 septembre 1776 à St Pierre et Miquelon, Guy Mathieu Chaignon, né en 1747 à Cherueix (Ille et Vilaine) de Mathurin et Vincente David.
Réponse  

?
Question N° 17 :  Gaudet
Recherche informations sur GAUDET Marie Blanche, née à Pigiguit, de Jean Baptiste et Marie Josephte Dorais, épouse le 21 février 1758 à St Pierre du Nord, Louis Julien Brousse, né en 1735 de Louis et Marie Hertart.
Réponse  

?
Question N° 18 :  Hébert
Recherche informations sur HEBERT Jeanne, née en 1689, de Thomas et Barbe Benoist, épouse le 28 avril 1715 à Montréal, Nicolas Carguenet dit Collet, né le 6 août 1691 à Saint Malo, de Charles et Denise Mayeux.
Réponse  

?
Question N° 19 :  Hébert
Recherche informations sur HEBERT Marie ° ca 1709 d 1er sep 1769 Rochefort m Charles Gautreau
Réponse  

?
Question N° 20 :  Landry
Recherche informations sur LANDRY Marie Louise, née en 1737, de Joseph et Marguerite Madeleine Giroux, épouse le 23 janvier 1764 à Beauport, Archibald Landford, né en 1724 en Ecosse, d''Archibald et Marguerite Cowen. Il décède le 3 janvier 1791 à Québec.
Réponse  

?
Question N° 21 :

Réponse  

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